Pandore Story - Saison 0 - Episode 0 : Le commencement de tout - G

Disclaimer : Toute ressemblante de près ou de loin à des personnes ou des situations ne sont que des circonstances indépendantes de ma volonté.

 

Léonard RAVEL

 

Léonard est scientifique dans un centre universitaire à Los Angeles. A 25 ans, ce jeune Canadien surdoué a profité de son avance dans ses études et de son talent dans la biologie pour parcourir les écoles du monde pour aller s'enrichir de différentes expérience. Mais sa soif de connaissance n'était qu'à ces débuts en cette année 2014. Il veut faire la recherche du siècle et parvenir à être aussi réputé que Einstein et les autres scientifiques de son temps. Il ne voulait pas être un inventeur comme Steve Jobbs ou d'autres hommes qui ont amélioré grandement le monde avec leur outils. Lui veut amélioré le quotidien des milliards de personnes pour leur vie. Il a finalement décidé de rester à Los Angeles quelques temps, car il vient de rencontrer une personne qui a une idée qui l'intéresse fortement. Nestor URI qui vient de Russie, mais qui lui aussi a parcouru le monde vient de s'arrêter à Los Angeles pour essayer de découvrir une étrange théorie. Celle de la cellule Pandore. D'après lui, c'est une cellule qui est dans chacun d'entre nous, et qui peut alors aider les personnes à écrire des histoires à la manière des Frères Grimms, de Jean de la Fontaine, ou même d'Andersen. Dans un premier temps, il l'a prit pour un fou. Personne ne peut prouver cela. Mais après quelques tentative sur des rats, Nestor a réussi à améliorer les performances créatives du cerveau d'une cinquantaine de rats, sur les cents testé. Puis, avec un singe, lors d'un arrêt en France, il a réussi à lui faire dessiner des paysages féérique, semblable à ceux des contes de fées. Encore une fois, le cerveau du singe niveau imaginatif est plus développé.

 

Léonard qui est plus terre à terre, ne voyait pas l'intérêt de cette découverte dans un premier temps. Puis, il découvrit enfin la raison de cette recherche. Le développement de cette partie du cerveau permet de guérir plus de 70% des dépressions. Testé sur les rats, la guérison était impressionnante. Les rats qui avait subit une grave dépression redevenait joyeux avec cette cellule. Puis, sur les singes, cette joie était contagieuse et leur congénére et même les soigneurs animaliers se sentaient en pleine forme. Cela leur permettait aussi de s'exprimer mieux entre eux et avec les autres races. Sa dernière recherche concernait les rats victimes d'un stress traumatique ou même d'un stress quotidien. Et les résultats était flagrant. Avec cette cellule, les rats se relevait de ce stress et devenait même plus performant que des rats non stressé, mais n'ayant pas cette cellule activée.

 

Maintenant, il veut faire ce test avec des humains. Mais pour cela, il devait avoir une nouvelle équipe opérationnel, des cobayes humains et surtout les autorisations des autorités. Nestor ne voulait pas briser la confiance que ses aides lui ont offert. Il voulait réussir son expérience et surtout permettre enfin d'avoir la reconnaissance de ses pairs.

 

Les chemins de Nestor et de Léonard se sont croisés lors d'une conférence sur les conséquences du stress post-traumatiste au niveau biologique, qui avait lieu justement dans ce campus de Los Angeles. Nestor était resté en retrait, écoutant avec attention le professeur. Avec son apparence de l'intellectuel, qui avait bientôt 30 ans, qui continuait ses études à la recherches de l'inaccessible. Il n'avait visiblement aucune personne à ses côtés. Du moins en apparence. Léonard était au contraire entouré de la part de nombreuses personnes, captivé par le savoir du jeune homme, les connaissances qu'il avait acquérit et son autonomie incroyable. Il avait un travail à mi-temps en dehors de ses études. Mais là, il était d'avantage intrigué par cet homme plus âgé que lui, seul, travaillant sans relâche, buvant les paroles du conférencier. Puis à la fin de ce cours qui avait duré plus de quatre heures, Léonard avait laissé partir ses amis, prétextant qu'il avait du travail à faire, et s'était retrouvé avec Nestor dans une salle d'étude.

 

"Désolé de vous déranger. On ne se connaît pas beaucoup, je m'appelle Léonard RAVEL et je peux m'asseoir à côté de vous ?"

Nestor ne releva pas la tête, il acquiessa silencieusement encore concentré sur son travail. Léonard pensa que l'ancien étudiant devait avoir l'habitude d'avoir des personnes à côtés de lui, peut être pas forcément pour les mêmes raisons que lui.

Léonard regarda au dessus des épaules de son camarade de classe et fut surprit de toutes les recherches qu'il y avait dessus, et surtout les résultats sur les sujets ayant subit un stress post-traumatique. Léonard avait entendu parlé de ces recherches, mais n'avait pas pu les lire, étant encore juste à l'état de la recherche d'un étudiant et pas encore totalement emprouvé par ses pairs.

"Cela à l'air d'être intéressant. Vous travaillez sur un soin du stress post-traumatique ?" demanda Léonard curieux de l'avancé des recherches de son aîné.

"Oui. Et alors ?" répondit froidement Nestor sans relever la tête pour regarder son interlocuteur.

"Je me demandais, pourquoi vous ne faîtes pas encore des expériences sur les humains ? Les sociétés pour lesquels vous travaillez semble accepter de faire la demande auprès des autorités, alors pourquoi ?"

Enfin, Nestor releva la tête pour lancer de ses beaux yeux bleus ciel un regard intrigué vers son interlocuteur.

"C'est la première fois que l'on me demande cela. Tout le monde insiste pour que mes écrits soient accepté par tous, mais je refuse qu'ils le soient. Pas avant d'avoir combler toutes les failles à mes théories." Il se replongea dans ses notes. "J'ai peur de faire une bêtise. Si jamais une personne en subissait des graves conséquences, alors nous serions tous perdant. Mes sponsors arrêteront de me fournir l'argent. Et le monde scientifique enterera mes recherches."

Léonard était surprit par la teneur des propros de son aîné. Ce dernier était si méticuleux et si proche des besoins des uns et des autres, qu'il ne voulait pas gacher la vie de ses cobayes. Léonard pouvait le retrouver dans les recherches de son camarades. Tous les animaux qui étaient en contact avec cette cellule était toujours suivi aussi bien par des scientifiques, que par du personnel soignant pour les animaux et même des bénévoles ou des membres d'association pour le droit aux animaux. Il acceptait de faire des expériences, mais avec des gardes fous à ses côtés. Il ne voulait pas dépasser la limite qui avait valut parfois des mésaventures a beaucoup d'entre eux. C'était pour cela, qu'à 30 ans, cet homme continuait ses recherches, lentement et dans le respect des animaux. Si les associations trouvaient qu'il était trop barbare de faire tel expérience sur cet animal, Nestor arrêtait aussitôt l'expérience et essayer de trouver un autre moyen pour ne pas déroger aux réglements.

En cela, il était un scientifique exemplaire. Il ne ferait pas de nombreuses découvertes. Il avait sa ligne à suivre et ne la quitterait pas pour tout l'or du monde. Mais, son idée, il voulait la batir sans avoir le sang d'animaux ou d'humain sacrifié pour la cause de la recherche. Il respectait la vie plus que tout.

Et c'est en cela, que Léonard le trouva merveilleux.

 

Durant des jours, des semaines, des mois, Léonard revient souvent voir son camarade Nestor en dehors des cours. Il partagea avec lui ses recherches, ainsi que son amour pour les animaux. Le Canadien fut heureux de partager un peu de temps avec son ami Russe qui semblait être un peu moins froid en son contact. Il apprit par ailleurs qu'il avait une fiancée qui l'attendait en Russie et qu'elle était une défenceuse du droit des animaux. Que de temps à autre, elle venait le rejoindre lorsqu'il pensait que les animaux allait mal. Elle s'appelait Kavitchie. Une douce femme qui ne parlait peut être pas trés bien l'anglais, mais qui avait un sourire admirable. Avec le peu de mots qu'elle connaissait, elle se montrer franche avec tout ceux qu'elle approchait. Nestor l'avait rencontré lors d'une de ses expériences. Elle lui avait avoué qu'elle détestait les scientifiques, car ces derniers ne respectait nullement le droit des animaux et qu'ils étaient peut être cultivé de la tête mais pas du coeur. A cela, Nestor ne put répondre qu'il était du même avis. Mais qu'il voulait changer le monde en allant au coeur du problème. C'était à partir de ce moment que ces deux êtres, bien que complétement différent se sont rapprocher. Elle était là pour l'encourager dans ses expériences, mais aussi pour l'arrêter s'il allait trop loin. Quand elle restait une semaine à ses côtés, elle était toujours derrière lui pour s'assurer qu'il mange à sa faim, qu'il s'habille avec des vêtements propres et surtout qu'il dorme.

Léonard s'amusa de cette relation entre les deux russes. Il n'avait rien à envié à son ami. La belle Irma, une italienne qui travaillait dans l'université de communication à côté de celui de biologie. Elle rêvait de devenir une grande journaliste et de créer son propre journal sur divers sujet. Un peu de mode, les nouvelles technologies qui l'a passionné tellement et enfin, les recherches de nouveaux génies dans les universités. Elle avait déjà commencé à se faire connaître au sein des université, en allant elle même les interviewer puis en allant publier les articles sur le blog de l'université, ainsi que dans un journal pour le campus entier. C'est à la suite d'une rencontre avec un professeur de biologie, pour faire une interview sur ses recherches qu'elle a rencontré Léonard. Il était entrain de ranger des livres et des classeurs dans le bureau du professeur, afin de l'aider un peu. Elle ne le remarqua pas de suite. C'est uniquement par le biais de ce professeur, qu'elle le connu. Il lui avait présenté en couvrant d'éloge son petit protégé. Jeune, dynamique, vif d'esprit. Les compliments pleuvaient. Et elle, elle ne trouva rien à dire, sauf de demander une interview au plus vite. Léonard avait accepté de prendre rendez-vous dans un café du campus. Et c'est à ce moment qu'elle le découvrit réellement, cet homme ayant un charisme, une envie de découvrir le monde aussi bien physiquement que par des théories. Elle fondit sous le charme de son accent Canadien, quand il lui parlait de son pays natal, de ses souvenirs d'enfance et de son envie plus tard de fonder une famille comme ses parents. D'aller repartir au Canada pour vivre sa vie de famille une fois avoir sufisamment découvert le monde pour finalement se poser et faire découvrir à ses enfants se que c'est une famille. Elle avait bu ses paroles, au point qu'elle en avait oublié d'écrire l'interview. Ils s'étaient promis de se revoir pour qu'elle puisse reprendre des notes et de fils en aiguilles, ils s'étaient mit à se revoir pour d'autres occasions. Ils s'étaient promis de se retrouver un jour au Canada pour vivre une vie de famille comblé, mais qu'auparavant, ils voulaient vivre leur rêve, à deux, même si parfois ils fallaient qu'ils s'éloignent un peu pour réaliser leur rêve.

 

Ensemble, les quatre camarades avaient envie de participer à la concrétisation de la théorie de Nestor : activé la cellule de Pandore, comme il l'aimait souvent appelé. Il l'avait nommé de cette manière, car il avait toujours peur des conséquences qu'ils pouvaient y avoir. Mais nullement, il n'avait pensé qu'un catastrophe mondial allait être né de ses découvertes.

Merci de vos commentaires (désolé de pas avoir répondu plus tôt, j'étais à fond sur mon boulot pour être tranquille pendant mes congés. 4 jours...Ca va faire du bien. Vais pouvoir écrire tranquillement et dessiner.)

Allez, je vous mets la suite.

PS : Merci Cissy pour m'avoir rémit en tête quel genre c'était, j'arrivais plus à me souvenir du mot. ^^'

 

Finalement, après des mois d'études acharné avec son nouveau acolyte, Nestor et Léonard ont pu avoir l'autorisation de faire leur première expérimentation sur un cobaye humain. Nestor n'est pas vraiment prêt. Il sait qu'il y a encore des détails sur lequel il doit travailler. Mais, le visage d'une mére éplorée l'a convaincu. Cette femme vient pour sa petite fille, Estelle, une jeune enfant de 9 ans qui avait vécu une année entière enfermée dans la cave de son père. La mère de famille étant divorcée n'avait pas pu reprendre sa fille à cause de procédure judicière et le père qui avait un pass devant les autorités, avait finalement été trahi par son fils issu d'un second mariage. Là, Estelle put enfin sortir de l'ombre, avec le demi-frère qu'elle avait. Mais pendant plusieurs années, les médecins, les psychologues avaient prescrit de nombreux traitement qui n'aidaient pas la jeune fille. Elle était entrain de se renfermer sur elle même. Ne parle plus. Ne mange plus que par sonde. Elle ne dort qu'un oeil pour se réveiller toujours en sursaut, revoyant son père lui faire subir les pires traitements. Personne n'arrivait à raisonner la jeune fille. Irma qui faisait quelques recherches pour des articles dans l'hôpital où se rendait la jeune Estelle les avait rencontré là bas. C'était elle qui avait parlé des recherches de Nestor en n'oubliant pas d'inclure le fait que tout n'était qu'expérimentation et que par conséquent, elle n'était pas sure d'avoir de grands résultat. Médecins, pédopsychiatres et la mère accepta cependant de faire un essai. Car après 3 ans à se renfermer sur elle même, la petite Estelle n'avait plus beaucoup de temps à vivre dans cet état.

 

Nestor a finalement accepté de faire sa tentative pour sauver la petite Estelle. Ses yeux ne brillent plus d'espoir. Elle semble être dans un brouillard inquiétant et d'où elle ne retrouverait jamais le chemin. Nestor a refusé la venue de journaliste pour ses recherches, sauf Estelle qui est la petite amie de son camarade Léonard.

Léonard s'occupa alors avec Nestor de prendre en soin la jeune enfant, avec l'aide de sa maman. Pour Nestor c'est se qu'il a le plus important lors de ses traitement. La famille aux côtés de l'enfant, pour qu'il sache comment se comporter avec lui, une fois que ce dernier reviendra vivre chez eux. La mère regarda les deux scientifiques qui est auprès de cette petite fille. Nestor prépare une petite seringue contenant un liquide incolore, se nommant l'injection Pandore. Il l'a nommé ainsi car le produit réveillé la cellule des contes de fée et ainsi provoquer une plus grande imagination, mais, il craignait que cela pouvait aussi créer des images monstrueuses et pour cela, il l'a appelé Pandore comme pour la boîte. Il ne sait pas se qu'il va découvrir. L'espoir ? Ou le désespoir ?

 

Léonard fut surprit de voir que Nestor est très doux avec la petite Estelle. Même si cette dernière ne montre pas de signe qu'elle écoute, Nestor explique avec des mots simple se qu'il allait faire. Lui injecté un produit, qu'elle allait surement voir des images dans sa tête. Que si elle a peur, qu'elle n'hésite pas à le dire. Que si elle a mal, il arrête tout de suite le traitement. Si elle a des questions, il y répondrai sans aucun problème. La mère fut ravi de voir que le scientifique ne prenait pas sa fille comme un numéro, mais bien comme un être vivant.

La petite Estelle ne répondit rien, et Nestor demande une ultime fois l'accord de la mère. Cette dernière lui donne avec un sourire triste.

Une fois l'injection faite, Nestor demande à la mère et la fille de bien vouloir habiter dans un hôtel non loin de l'université. Il ne voulait nullement que la petite fille reste dans un endroit comme un laboratoire. Il veut au contraire qu'elle soit dans une chambre remplie de jouets, d'élément qu'une petite fille de son âge devrait avoir. Les médecins, pédopsychiatres et Estelle se mirent en oeuvre pour répondre à la demande de Nestor. Il promit de venir le voir tous les jours, pour prendre des nouvelles d'Estelle, mais aussi pour les résultats de son expériences.

Pendant la première semaine, avec plusieurs injection, la petite fille ne semble pas réellement changer d'état. A part, qu'elle semble maintenant écouter sa mère et Nestor. Puis, les semaines passent, un mois...Et un matin, alors que sa mère souhaite réveiller sa petite fille, elle l'entend dire ces premiers mots depuis qu'elle a vécu son traumatisme :

"Bonjour Maman."

Des larmes de joies furent versées. Nestor fut ravi de voir mère et fille se rapprochait. Il se sentit confiant concernant le traitement, tout en maintenant qu'il fallait garder de l'attention à la petite fille. Que son traitement seul ne pourrait jamais aidé la petite fille. Que c'est aussi la mère de famille, l'attention des pédopsychiatres et des médecins qui l'a aidé à sortir de son mutisme. Puis deux mois plus tard, la jeune Estelle se remit à sourire, à jouer avec des filles de son âge, avec cependant toujours une méfiance envers les adultes et en particulier les hommes. Sauf peut être Nestor et Léonard, qu'elle considérait comme ses tontons miracles.

 

Après cette expérience qui dura 3 mois, mère et fille repartirent à leur quotidien, avec le traitement que Nestor leur a offert. Il promis de prendre des nouvelles de la petite Estelle, se qu'il fit avec beaucoup d'attachement. Lui qui est si tactiturne, se retrouver jovial avec les enfants, presque un père poule. Kavitchie, qui a fait le déplacement en ayant lu la maquette de l'article d'Estelle, alla récompenser son bien aimé en lui promettant de lui donner autant d'enfants qu'il voulait quand ils seront ensemble. Elle ne connaissait pas, elle non plus ce trait de caractère qui la rendit plus amoureuse que jamais.

 

A la suite de cela, médecins, pédopsychiatres et Estelle postèrent les résultats de l'expérience de Nestor et Léonard. Les deux scientifiques aidèrent de nombreux enfants qui avaient subi des expériences traumatisantes. Il avait bien demandé à leur faire part des effets secondaires qu'il y avait pu avoir avec ce genre de traitement, afin de pouvoir remédier à ces désagréments. Le groupe d'amis fêtèrent avec modestie leur découverte, en rêvant de pouvoir soulager un des maux du monde pour changer la vie des plus malheureux.

 

Mais quelques temps plus tard, un étrange coup de fils fut passer de la part de la mère d'Estelle. Cette dernière informa que la petite fille a fait des rêves étranges, où elle semblait voler. Et puis un jour, alors que la petite dormait, la mère est entré dans la chambre. Elle a vu sa fille flotant dans les airs.

Interloqués, Nestor prit ses affaires et se rendit immédiatement au chevet de la petite Estelle. Il voulut savoir se qui se passer. Et se qu'il vit le marqua. La petite Estelle a apprit à léviter dans les airs...Mais plus elle utilise son pouvoir, plus son corps se méthamorphose. Et après ce fut son esprit. Elle n'est plus la petite Estelle qu'il a connu lors de la fin du traitement. Elle se prend pour Icare et veux voler plus haut dans le ciel. Elle veut aller voler auprès du soleil qui l'attire. Inquiet, Nestor suspend le traitement et s'excuse auprès de la mère d'avoir causer ses ennuis. La mère ne porta pas plainte, car elle sut que Nestor a tenté le tout pour sauver sa fille. Immédiatement après l'apparition de ses symptomes, le scientifique retira tout ses traitements aux enfants à qu'il avait prescrit. Il explique l'apparition des symptomes de la petite fille et s'excuse de ne pas avoir envisagé cet angle. Un groupe de parent porte plainte contre le pauvre scientifique, qui a pourtant toujours demandé pardon à ses parents. Il leur donne tous l'argent qu'il avait. Et malgré les messes basses des pédopsychiatres qui l'avaient complétement laissé de côté à la suite de l'apparition des symptômes, il continua à suivre de prés la petite Estelle, pour savoir les conséquences du traitement sur elle. Heureusement pour les enfants qui l'a suivait après, peu de symptomes étaient apparu. Parfois ils se prennaient pour certains personnages de contes de fées, mais cela ne durait qu'une heure par mois.

 

Hélas pour Nestor, le plus gros coup dur arriva en fin d'année 2014. La petite Estelle a arrêté le traitement depuis six mois. Nestor lui rend visite avec Léonard, Estelle et Kavitchie. Et ce qu'il découvre leur paraît invraisemblable. La fillette de 9 ans a laissé place à un grand oiseau au plumes blanches, au long bec doré, au long cou, avec des yeux couleur saphir. Mais elle n'emet pas le chant des oiseaux, au contraire elle parle comme une petite fille de son âge. Elle est enfermée dans une cage suppliant sa mère de la laisser sortir pour qu'elle aille voir Monsieur le soleil. Nestor apprend de la bouche de la mère que la transformation de la petite fille s'est produit petit à petit. D'abord des plumes blanche dans son dos. Puis ses bras qui se transforment en ailes. Sa bouche disparaissant laissant place à un magnifique bec. Son cou s'allongeant. Ses yeux devenant bleus. Cela a duré 6 mois pour que la transformation en oiseau ne soit compléte. Dès les premiers signes, elle avait arrêté la scolarité de sa fille, prétextant une rechute. Elle a réussi à contrer le systhème en disant qu'elle lui enseigné l'école à la maison. Mais elle savait qu'un jour quelqu'un découvrirait le secret. Alors, elle a contacté Nestor et ses amis pour leur en faire part. Elle ne pouvait plus contenir ses sentiments, sa tristesse, sa colère... Elle fut a bout et leur demande de prendre Estelle avec eux.

Choqués, le groupe décide d'appeler les médecins pour permettre à la mère de se reposer et par la même de suivre la petite fille devenue un oiseau.

Un énorme scandale fut crier sur tous les toits.

 

Léonard fut déboussolé et s'éloigne de Nestor pour se consacrer à des recherches plus simple. Il perdit contact avec le russe pendant plus de 3 mois. Ce dernier ne tenta pas de le rattraper, se sentant assez coupable de se qu'il a fait subir à ses enfants et ne voulant pas mêler son ami d'avantage dans ses histoires.

 

Mais après trois mois de recherche sur un virus contre le sida, Léonard vit arrivé dans son petit laboratoire, Kavitchie accompagnée d'Irma.

 

"Que se passe-t-il ? Pourquoi Kavitchie est ici ?" hurle Léonard peu ravi de revoir son passé lui revenir en pleine face.

"Nestor ne dors plus. Il ne fait que travailler sur des théories pour essayer de trouver un moyen de soigner la petite Estelle. Je crains qu'il ne fasse une grosse bêtises. Tu es le seul qui puisse nous aider." supplie Kavitchie en pleurant.

Léonard ne souhaite pas l'écouter d'avantage, mais il est obligé par sa petite amie qui l'empêche de quitter la pièce.

"Un scientifique d'un laboratoire pharmaceutique a proposé à Nestor de laver tous les crimes qu'il a commis, car ce n'était pas sa faute. Qu'il s'agissait juste d'un malheureux accident de parcours. Il lui a même proposé de lui payer ses recherches pour trouver un reméde pour la petite Estelle et permettre d'améliorer son ancien traitement." commence Kavitchie en essuyant une larme "Mais Nestor a refusé. Il veut faire ses recherches seul, quitte à s'endêter plus que nécessaire. Il a dit qu'il voulait corriger ses erreurs lui même et qu'il ne fait confiance à personne d'autre que toi."

 

Gêné, Léonard ne sait plus quoi pensé. Il ne sait pas non plus pourquoi Nestor refuse une tel offre. Il finit par accepté d'aller le voir et de discuter avec lui, pour tenter de le convaincre de laisser le scientique de ce laboratoire l'aider.

 

Quand il arriva dans le laboratoire que son ami russe a créé dans une petite maison éloignée, en ruine, Léonard vit que le bazar que son ami a laissé de côté. Il semble n'être plongé que dans ses recherches. Un peu boulversé dans l'état de décrépitude où vit son ami, Léonard craint le pire pour la santé de son ancien ami. Il se maudit de l'avoir laisser seul, lui qui se préocuppe plus pour la santé d'autrui que pour lui même. Il remarque par la même occasion qu'aucun animal n'est chez lui. Aucune expérience. Juste des théories écrites un peu partout sur les murs.

Puis, il entre dans une nouvelle salle, où le bazard fut le même. Mais la peur surgit en lui, en voyant son ami Nestor allongé sur le sol, les yeux clos. Rapidement, Léonard se précipite vers lui, le secouant légérement pour le réveiller.

Doucement, l'aîné se réveille. Son visage a prit plus de dix ans à cause du stress qu'il s'inflige.

"Léonard...que fais-tu ici ?" fut la première question de Nestor avant de remarquer les yeux remplis de larmes de son ami.

Il fallut une bonne demi-heure et un café pour que les deux amis se remettent de leur émotion. Le plus âgé resta assis sur le sol tout le temps que le café n'était pas préparer afin de ne pas risquer de rechuter. Une fois un bol de café en main. Les deux scientifiques purent parler à coeur ouvert.

 

"Kavitchie m'a appelé. Elle m'a raconté qu'un homme est venu pour tes recherches ?" commence Léonard, avant de remarquer le regard sombre de Nestor.

"Oui, ce Mickael DELOI. Il fait parti d'un groupe pharmaceutique qui vient d'être créer il y a peu. Il aurait les fonds nécessaires et le matériel pour m'aider. Mais je pense que je ne dois pas lui faire confiance."

"Pourquoi ?"

"Il...Il n'est pas comme nous. Je crois qu'il s'intéresse au profits d'avantage que le soin. Du moment qu'il se fait de l'argent."

"C'est indéniable. Mais, n'oublie pas que si tu peux découvrir une solution miracle, alors cet homme aura pu au moins t'aider. C'est le principe même de la vie. Il t'utilise pour avoir plus d'argent. Tu utilise son argent pour sauver des vies et..."

Léonard ne pu continuer sa phrase que Nestor envoya sa tasse de café à l'autre bout de la pièce. Des larmes recouvraient ses yeux, en regardant le visage de Léonard.

"Je ne lui fait pas confiance. Et je n'aurais jamais pensé que tu étais comme lui."

"Nestor ?"

"Dehors...SORS!!! JE NE VEUX PLUS JAMAIS TE REVOIR!!! JE FERAIS MES RECHERCHES SEUL!!"

Léonard ne put dire d'avantage et sorti de la maison de son ami, en espérant que ce dernier réfléchirait à leur discussion.

 

Ce n'est qu'une semaine plus tard que Kavitchie revient au laboratoire l'air catastrophé. Irma eut beaucoup de mal à calmer la jeune russe pour savoir la raison de cet air. Léonard apprit ainsi de la bouche de la demoiselle que Nestor a effectué un nouveau test avec la cellule Pandore et un virus qui pourrait soigner le maux. Mais au lieu de le soigner, cela aggrava son état. Nestor avait les mêmes pouvoir que le roi Midas, seulement, il garde sa raison. En sachant pertinemment qu'il ne pourrait ni manger, ni boire, ni même serré Kavitchie dans ses bras. Il lui demande de brûler ses recherches. Avant même d'avoir eu sa réponse, il posa ses mains l'une contre l'autre devant lui et se changea en statue d'or.

 

Léonard se rendit avec Kavitchie et Irma dans la maison de Nestor et restèrent coi devant leur ami statufié en or. Les larmes coulent sur les jouent de Léonard qui se rendit compte que sa discussion avait au contraire rendu la situation plus dramatique. Il cria une multitude d'excuse au pauvre Nestor qui tentait par tous les moyens de réparer ses fautes par lui même, sans passer par un intermédiaire.

 

C'est à ce moment qu'arrive Mickael DELOI. Ce gros bonnet et scientifique d'une entreprise Pharamaceutique entre dans la pièce à son tour en prononçant quelques mots :

"Quel dommage. Ce génie gacher par tant de fierté."

Kavitchie voulut donner une claque à cet individu qui venait de rabaisser son fiancée.

"Je ne voulais pas vous froisser mademoiselle. Mais je crois que si nous mettons nos talents ensemble, il serait peut être possible de trouver un traitement pour le soigner. Vous Monsieur RAVEL, vous avez suivi les théories de ce jeune homme. Vous pourrez sans nul doute trouver avec nos moyens financiers et matériels une solution à votre problème."

Léonard ne sut plus quoi penser. Cet homme avait en effet la position permettant de les aider dans leur recherches et peut être de soigner Nestor. Mais à la fois, il savait que son ami n'apprécierait pas que les recherches se fassent de cette manière. Il voulait arrêter toutes les recherches. Nestor n'en avait plus la force. Il avait finalement décidé d'en finir en se statufiant.

"Trés...Très bien." déclare Léonard en relevant les yeux vers Mickael. "Vous pourrez récolter toute la gloire, l'argent, le succès, mais aidez moi à soigner Nestor, Estelle et tous ses enfants que notre curiosité à rendu d'avantage malade."

 

Kavitchie accepta elle aussi. Mais Irma, elle préféra garder son jugement pour plus tard. Personne ne savait que tout ceci était le début de la fin.

Me revoilà après quelques jours de repos... Je vous envoi la suite de notre histoire. Cette fois c'est un chapitre plus court. Si c'est trop long, n'hésitez pas à me le redire.

On arrive bientôt à la fin de cette histoire, et les autres sont en cours. 

Voilà. Bonne lecture.

 

 

Une semaine après la transformation de Nestor, Léonard travaille d'arrache pied dans la compagnie DELOI Pharma and co. Il reprit l'ensemble des recherches de son ami, en essayant d'oublier son émotion. Il n'était plus le même depuis qu'il a commencé ses recherches. Son but est de trouver un sérum pour sauver son ami et plus uniquement les enfants et autres personnes ayant subi un traumatisme important au point de vu psychologique. Aussi, il essaya sur les enfants ayant injérer le traitement et ayant subi des mutations comme celle d'Estelle pour mettre au point ses sérums. Kavitchie tenta de l'arrêter, mais en vain. Léonard ne veut que le résultat, au mépris de tout se qui faisait de Nestor quelqu'un de bien. Kavitchie essaya de le dissuader. Mais rien n'y faisait.

Un mois après, aucun sérum n'est encore en place. Léonard continue ses recherches, sans pour autant se douter que derrière se préparer un secret qui allait l'aider à l'élaboration d'un nouveau sérum.

Mickael téléphone à Kavitchie et Irma pour demander quelque chose en particulier. Léonard n'apprit jamais de quoi il avait discuté, mais le lendemain, un spécimen bien particulier de créature apparut. Une sorte d'hydre à taille humaine avec deux têtes.

 

"Qu'est-ce-que ..." s'inquiéte Léonard en lançant un regard interloqué. Il se demande se comment cette créature est arrivé jusqu'ici ? Tous les enfants étaient revenus. Alors la question se poser évidement.

Mickael sourit à l'évocation de la question. Il savait qu'un jour Léonard lui demanderait se que faisait le reste de l'équipe concernant la cellule Pandore.

Il n'en a vu aucun travaillant avec lui, à part les premiers jours pour comprendre la méthode de fonctionnement.

Léonard demande des explications. Il vit le sourire de Mickael se déformant.

 

"Pour tout vous dire, nous avons travaillé sur la cellule Pandore. Nous avons découvert qu'en combinant la cellule avec celui d'un virus tel que la grippe, en enlevant bien sur son noyau pathogéne, nous pouvions créer des nouvelles chimères faites avec ces virus. Ce sera plus simple de créer un sérum. Et surtout d'essayer de créer une nouvelle armée, une armée avec des pouvoirs pouvant vaincre n'importe quel humain. Nous pourrons contrôler le monde!!!"

 

Enervé, Léonard frappa de toutes ses forces sur Mickael l'obligeant à tomber sur le sol. En entendant cela, les autres scientifiques arrivèrent pour contrôler Léonard.

 

"Mmm...Je vois, comme vos amies, vous ne nous laissez pas la vie facile. Mais ne vous inquiétez pas. Vous deviendrez bientôt comme elles." sourit-il en montrant la chimère.

"Non..." souffle Léonard sans force pour pouvoir se débattre. Son regard se porta sur la chimère qui lui lance des regards rempli de tristesse et de peur. "IRMA!!! KAVITCHIE!!" hurlait-il tandis qu'il se faisait emmener par les scientifiques.

"Enfermez le dans une salle d'observation. On lui transmettra le virus à lui aussi. On verra comment il réagit avec lui. Il ne nous est plus d'aucune utilité. Nous continuons nos recherches sur la nouvelle chimère."

Léonard tenta à nouveau de se débattre pour tenter de se libérer et d'aller sauver sa bien aimée et son amie. Mais rien n'y faisait. Les scientifiques alliés à Mickael continuent de le faire sortir de la pièce. Il ne put que laisser ses larmes coulant sur ses joues.

 

Léonard était assis depuis quelques heures dans cette salle blanche. Il savait qu'il allait bientôt recevoir l'injection du virus et qu'il aurait bientôt les mêmes symptômes que les autres. Il pose sa tête contre le mur en se trouvant si stupide d'avoir accepté une tel offre de la part de ce laboratoire.

Nestor savait malgré le fait qu'il était introverti, à qui confier ses recherches et à qu'il ne fallait surtout pas laisser la possibilité de s'en approcher. Il avait ce don de voir dans les yeux des autres s'ils étaient bons ou mauvais.

Léonard regrettait de ne pas l'avoir écouté. De ne pas avoir pu l'aider quand il le fallait. Maintenant, il allait subir à son tour sa sentence.

Il entendit la clé être tournée dans la porte. Léonard espérait que quelqu'un puisse prendre son journal auprès de lui, pour ensuite le transmettre aux autres et éviter la propagation du virus.

 

Voilà, cet épisode est terminé, c'était la genèse qui permettra de vous faire comprendre les futurs épisodes. J'espère que cela vous a plut. 

N'hésitez pas à commenter, dire se qui vous a plut, se qui vous manque. Et si vous désirez voir un conte un peu modifié, écrivez le et je verrais si je peux l'intégrer.

L'épisode 1 de la première saison (on verra s'il y en aura plusieurs saisons...) vous sera mit dans deux semaines. L'épisode est déjà écrit, mais je dois revoir si le découpage est bon et finir l'épisode 2.

Si certains sont motivés à écrire un épisode en collaboration, faites moi un MP pour qu'on puisse voir cela pour la saison 2.

Voilà, donc rendez-vous le : Dimanche 30 Mars 2014.