Merci !
Comme pour les autres calendriers , voici la suite en deux épisodes, car absente demain;
Le livre des deux frères :
Notre histoire se déroule en hiver. Kévin est un jeune garçon qui se promène dans le jardin de sa maison. Il s’était accroupi pour regarder sous les buissons, la main tendue en direction d’un petit animal qui s’était réfugié. Au chaud et à l’abri de la neige. Un petit châton qui devait être né durant l’été et qui miauler doucement.
« Petit. Petit » Souffla Kévin.
Son père était entrain de le surveiller depuis le salon. Derrière la baie vitrée avec le plus jeune des garçons Brian. Le petit dernier restait derrière son père, l’air un peu peureux. On aurait pu voir sur son visage son envie d’aller à l’extérieur et pourtant, il avait également peur de cette Neige et de ce froid.
« Tu es sur que tu ne veux pas aller avec Kévin. Vous pourriez bien vous amuser. »
Brian leva la tête, puis la rabaissa. Oui, il aimait bien jouer de temps à autre avec son grand-frère. Cependant, le petit garçon était parfois épuisé à la fin de leur partie. Kévin était hyperactif et devait sans cesse bouger. Courir dans tous les sens. Jusqu’à ce qu’il tombe d’épuisement, le sourire aux lévres. Et le froid l’aidait bien à se calmer, car il devait dépenser plus d’énergie pour combattre la différence de température.
Brian, était d’une nature plus douce, plus calme. Il pouvait passer des journées entières sur ses dessins, sur des puzzles ou des activités plus de réflexion.
L’une des rares activités calmes qu’ils avaient en commun était la lecture. Kévin comme Brian dévoraient les livres par dizaines. Un par jour pour Kévin, un peu moins pour Brian.
Si bien, que les parents durent prendre une carte à la bibliothèque municipale pour étancher la soif de lecture des deux bambins.
« Bon, je vais aller le chercher du coup. Nous allons chez Tatie. Vous allez pouvoir lire beaucoup de livre chez elle. » sourit le père de Famille, avant d’ouvrir la porte fenêtre. Le froid s’engouffra dans l’espace faisant frissoner le petit Brian.
Intrigué par le bruit, Kévin tourna la tête avec un grand sourire en direction de son père :
« PAPA !! Y a un châton sous l’arbuste ! » commenta le petit garçon.
« Ah bon ? Je viendrais le voir tout à l’heure. Il faut se préparer pour aller chez Tatie. »
« Mais je veux pas !! » s’énerva l’enfant à la mine boudeuse.
« Kévin, je ne le répéterai pas. Tu viens, on va chez Tatie. Elle est impatiente de te voir. Et puis, elle aura surement des nouveaux livres. »
« On y reste pas longtemps hein papa ? On prend le livre et on s’en va ! » clama l’enfant.
« Ecoute Kévin. Tu vas rester avec Tatie quelques heures, le temps que Papa et Maman vont faire des courses. Et puis… »
« Mais moi, je veux pas. Je veux rester avec toi Papa ! Je veux faire les courses avec toi ! »
L’aîné était en effet très proche de son père. Il adorait réaliser des statues avec des jouets en forme de blocs et pleins d’autres petits jeux. Quitte à parfois ne laissez pas de temps pour son frère et sa mère.
Le père ne céda pas aux caprices de son aîné et emmena les deux petits garçons en direction de la petite maison de ville de leur tante.
Là, une femme aux longs cheveux ondulés les accueilla. Brian approcha timidement et salua sa tante, avant de s’installer dans le canapé avec son chocolat Chaud. Kévin quand à lui se mit à bouder devant la porte de l’entrée, refusant de saluer leur tante et attendant le retour de son père.
« Kévin, tu sais, j’ai un livre qui pourrait vous intéresser tous les deux. »
Le petit garçon était têtu et refusa clairement, prêt à aller se cacher dans un recoin d’une salle. Brian tira la main de sa tante pour aller lire le livre avec elle. La femme accepta, préférant laisser l’aîné à ses ruminations le temps nécessaires pour qu’il soit intéressé par le conte.
Brian écoutait paisiblement dans les bras de sa tante l’histoire de deux frères aux idées complétements différentes. L’aîné, Kay, était devenu un brave guerrier, fort et puissant. Prêt à sauver la veuve et l’orphelin. A parcourir le monde a la recherche de nouveaux combats, de nouvelles bataille. Les blessures et les monstres ne lui faisait pas peur. Il aimait prendre des risques et aller au-devant du danger.
Le petit frère du mercenaire, Clint était un simple paysan. Cultivant la terre et s’occupant de ses animaux. Il avait une vie modeste. Une force classique. Il n’était pas très reconnu dans son métier, ni dans le monde. Il était parfois appelé : Le petit frère du Héros. Cependant Clint n’avait jamais envié le départ de son frère. Il avait décidé d’avancer dans son propre chemin et vivre sa vie avec ses effrorts, ses peines et ses joies.
Car en effet, durant la route, Kay ne pouvait pas s’attacher à une tierce personne, sous peine de la mettre en danger. Il avait déjà plusieurs chasseurs de primes, chef de voleurs, brigands et tueurs à ses trousses. Il devait fuir, encore et toujours. Il n’y avait pas de réel repos dans sa vie. Juste une succession d’évènements actifs et très puissants. La jalousie, l’orgueil et l’envie le guettait à tout les coins de rues.
Clint avait au contraire une situation assez calme et tranquille. A force de travail et d’acharnement sur sa terre, il se fit remarquer par le fruit de son travail. Des fruits et des légumes si délicieux que tout le monde venait lui réclamer ses astuces. Il leur enseigna doucement, préférant le partage de la connaissance que de la conserver en secret. Une jeune paysane fut séduite par ce gaillard dégourdi. Avec l’accord de sa famille, elle put lui demander d’apprendre à mieux le connaître. Jusqu’à partager sa vie avec lui. Se marrier. Fonder une famille. Et continuer de pratiquer la terre.
Un jour pourtant, au moment où les flocons commencent à s’étendre sur la terre froide, Clint reçu une missive de la part de son aîné. Ce dernier lui indiqua qu’il était dans une terrible situation. Qu’il ne savait pas si un jour il le reverrait. Qu’il s’en voulait de ne pas avoir pu connaître ses neveux et nièces. Il avait vécu sa vie éloigné de tout, marqué uniquement par sa passion. Au point d’oublier tout, même son propre frère.
Sa femme lut également la lettre. Une fois que les enfants étaient ensommeillé, elle lui demanda :
« Que vas-tu faire Clint ? Aller à son secours ? Tu ne sais même pas où il est allé. »
Les mains serrées prés de son visage, le paysan réfléchissait. Il n’était pas un franc combattant. Mais il avait reçu quelques cours de la part de son frère pour apprendre à se battre. Il possédait d’ailleurs une ancienne épée qu’il lui avait offert, avant de partir en voyage. Un peu embarassé, il alla prendre sa femme dans ses bras, avant de lui répondre.
« Je voudrais rester auprès de vous. Mais mon cœur me demande d’essayer de le retrouver. Je vais essayer d’avoir de ses nouvelles. Qu’il soit mort ou vif. D’essayer de le ramener au foyer pour qu’il puisse se reposer. Puis de réfléchir ensemble à ce que nous décidons. »
« Mais combien de temps cela durera ? Combien de temps, nous devrions attendre ? Tu sais que bientôt c’est Noël. » souffla la dame.
« Je sais. Je reviendrais avant Noël. Je vous le promet à toi et les enfants. Je ne manquerai pas ce moment à partager avec vous. Je veux juste que Kay profite aussi de cet instant. Car quand nous étions enfants, quand nous n’étions qu’à deux dans la famille, nous n’avons pas fêter Noël. Il ne connait pas Noël. Je vais le chercher et lui offrir une petite part de bonheur. »
Sa femme laissa aller Clint dans la forêt à la recherche de ce frère perdu.
A suivre...
Le livre des deux frères
Partie 2 :
Clint armé de son épée dans le dos, emmitoufflé dans une faible armure de cuir était entrain de marcher dans la neige blanche de la forêt. Les arbres étaient nu comme des vers, et noir comme la nuit. Le ciel était si nuageux et si blanc qu’il ne voyait pas l’horizon. On aurait cru que la neige était aussi bien dans le ciel que sur le sol. C’était un temps étrange et froid.
Clint avança lentement, prudemment. Il arriva non loin d’une intersection où un étrange oiseau, d’un bleu azure et de plume de cristal le regardait. Il hocha la tête sur le côté, comme attendant une interaction de sa part. Les deux chemins étaient très différents. Le premier possédait des pas d’animaux par dizaines. Surement des loups, des ours et des renards, le chemin était obstrué de nombreux végétaux et difficile d’accès pour un humain. Tandis que dans le second, le chemin semblait encore être vierge de toute trace. Comme si le chemin n’avait jamais été emprunter. La voix semblait être acceccible. Permettant à tous de l’emprunter.
Clint leva la tête vers l’oiseau bleu qui hochait la tête de droite à gauche, observant l’humain face à lui.
« Excusez-moi, cher oisillon. Je ne sais pas si vous pourriez me répondre dans votre langage. Je cherche mon frère : Kay. C’est un mercenaire. Un guerrier fort et puissant. Il doit être blessé ou poursuivit. Je souhaite l’aider du mieux que je le peux avec mes petits bras de Paysans. »
L’oiseau ouvrit ses ailles pour se poser auprès de ce jeune homme qui lui demandait son aide. Une fois au sol, il se transforma en une tout autre créature. C’était un petit elfe, aux longues oreilles et la peau bleuté, les yeux d’un bleu cristallin et les cheveux vert bouteille :
« Je veux bien t’aider petit paysan ! Je m’appelle flocon. Je suis un lutin veillant sur cette forêt. Je crois avoir vu un homme blessé partir en direction du chemin des loups et des ours. Il saignait beaucoup. Je crois que les animaux vont tenter de le manger. En échange, laisse moi te demander une seule chose. »
« Je t’écoute Flocon. Appelle moi Clint.»
« Très bien Clint. Je souhaite avoir quelqu’un avec qui me liait pour l’éternité. Quelqu’un qui liera mon âme à la sienne. »
Clint ne connaissait pas bien la magie, ni même les lutins et les conséquences d’un tel pacte. Désireux d’aider son prochain, il accepta le contrat et se dirigea avec Flocon vers le chemin qui lui a indiqué.
Là, au fond des forêts, entre le vent soufflant sur les branches nues. Les bruits des animaux se battant. Les hurlements des loups à la nuit tombée, Flocon et Clint découvrirent allongé sur le sol, baignant dans une mare de sang, Kay. Clint observa dans les allentours afin de détecter les piéges ou les animaux prêt à se battre contre lui et avança prudemment vers son aîné.
Il l’attrapa par les épaules afin de déterminer si les blessures étaient profondes ou non. Il distingua de multiples plaies, faisant couler abondamment du sang. Mais pas suffisament pour le tuer. Son visage était si fin, si maigre, que Clint arrivait à voir que son frère n’avait rien manger depuis des jours, peut être des semaines. Ses lèvres étaient gelées et séches, surement en manque d’eau. Rapidement, Clint chercha dans son sac le nécessaire pour recouvrir son frère et lui faire boire de l’eau. Ce dernier ouvrit les yeux difficilement et essayer de mumurer quelques mots à l’oreille de son cadet.
« Ne te fatigue pas Grand frère. Je suis là. Je vais te soigner. »
Flocon veillait sur les environs avant d’entendre un craquement de branche. Il sursauta et vit arriver non pas des ours, des renards et des loups, comme laissez indiquer les traces dans la neige, mais des hommes surarmé. Des mercenaires costauds et prêt à chercher la bagarre. Certains avaient l’allure de chasseur de prime ne résonnant qu’en terme de chasse et d’argent. Enfin, des silhouettes sombres et discrétes se faufillèrent prête à se battre également.
« Eh toi ! Je sais pas qui tu es, mais tu vas nous laisser éliminer ce blanc bec de Kay. La récompense est énorme et je n’ai pas envie de chercher un autre gibier ! » beugla le plus imposant des mercenaire.
« Pourquoi ? L’argent est-il le seul intérêt que vous avez dans ce monde ? Vous n’avez donc pas de famille qui vous attendent à quelques jours de Noël ? Des amis ? Une maison ? Des compagnons ? Il s’agit là de mon frère que vous parlez ! Et je ne le laisserai pas à des types comme vous. »
Les mercenaires et tueurs se mirent à rire sciniquement tandis que Kay essayait de murmure à Clint de s’enfuir.
« Mon petit Paysan ! Sache que dans ce monde, tout est régit par l’argent ! Regarde les nobles et les guerriers à leur service. Dès qu’ils ont de l’argent et du pouvoir ils sont les maîtres du monde. Nous devons juste des pions à leur service et nous devons pliers à leur volonté. Pas de famille, pas d’ami pour nous aider. Sinon, nous risquons de les perdre, comme cela va être le cas de ton frère. On a pas envie de te tuer. Tu n’as rien à apporter de plus dans notre carrière. Alors écarte toi gamin ! Et laisse ton frère mourir ! »
Clint hocha négativement de la tête, serrant contre lui son aîné qui était plus que surprit. Kay aurait voulu se débattre, partir au devant de l’action pour éviter que son petit frère ne soit la cible de ces attaques. Il aurait préféré mourir à sa place. Ne pas lui faire gâcher ses années de vie avec sa famille.
« Très bien. Tu l’auas voulu ! » cria le guerrier en courant vers eux.
Soudain, un mur de glace se forma juste devant l’homme à l’épée. Il n’eut pas le temps de l’esquiver et se plaqua terre la première contre la surface dur de la glace. Surprit, il recula et vit une protection de glace être formée et par-dessus, un petit lutin à la peau bleuté qui était entrain de rire.
« Alors comme ça vous voulez tuer mon contractant. Je n’aime pas beaucoup vos méthodes messieurs. Cependant, si vous voulez jouer, alors amusons nous. »
L’assassin lança des lames en direction du lutin qui les fit se geler juste devant lui, avant de les faire tomber au sol. Avec un sourire enfantin, Flocon descendit du dome d’une manière rapide et svelte pour se trouver juste devant l’assassin. Doucement, il l’attrapa dans ses bras et l’embrassa sur la joue.
Aussitôt, l’assassin fut transformer en une mignone petite hermine, aussi blanche que de la neige. L’animal se mit à deux pattes dans les vêtements sombres de l’assassin en regardant ses pattes. L’air complétement perdu.
« Qui veut être le suivant !! » rigolait Flocon.
Le chef des mercenaire qui voulait sa revanche, reprit son arme et se lança à l’attaque de ce petit bonhomme étrange et ésotérique. Flocons sauta au-dessus de lui avant de s’accrocher à son dos et de lui poser un léger baiser dans le cou. L’homme se figea brutallement. Il senti ses pieds s’enfoncer dans le sol. Les doigts de pieds s’allongèrent pour pénétrer dans les couches les plus profondes de la terre. Ses jambes se durcirent de manière incroyable. Des sortes d’écailles apparurent tout le long de son corps tandis que ses doigts montèrent vers le ciel. Son torse, son cou et son visage ne formait plus qu’un immense troncs ou sortait des étranges appendices noires. De ces derniers sortaient des épines vertes qui venaient décorer le tout et une odeur de végétation se fit sentir. D’humain, le mercenaire était devenu un sapin de plus de 5 métres de hauts.
« Tu es plus impressionnant comme ça ! »
Les autres combattants face à ce tour de magie s’enfuirent sans demander leur reste. Flocon se tourna vers les deux frères. L’aîné entrain de perdre ses forces dans les bras du cadet.
« Je peux encore t’aider. » souffla Flocon. « Laisse moi faire un pacte avec ton frère. Il gagnera une longévité pour sa vie. Il ne sera plus seul sur les routes. Permet moi de me lier à son âme. »
Clint avait peur de se qui allait se produire s’il acceptait. Il n’arrivait pas à se décider. Il ne savait pas se que voulez son aîné. Mais pourtant, il ne voulait pas que son frère périsse sans connaître les joies de Noël et de toute la vie qu’il n’avait pas vécu jusqu’à présent.
« Très bien. J’accepte ton offre Flocon. » souffla Clint.
Le petit elfe d’eau accouru en direction de l’humain. Et doucement, il posa un léger baiser sur le dos de sa main. Une aura magique entoura Kay et Flocon. Des millions de cristaux de neige les enveloppèrent. Le froid ne quitta pas le corps de l’aîné, mais les pupilles brillaient à nouveau. La bouche était plus humide. La main serra fortement celle du cadet.
Kay se réveilla aux côtés de Clint étonné.
« Grand-frère… Pardonne moi… » s’exclusa Clint en larme, le prenant dans ses bras et expliquant tout se qu’il avait produit pour lui.
Kay lui pardonna et ensemble, ils retounèrent dans la famille de Clint afin de fêter Noël.
Les enfants et sa femme furent heureux d’accueillir Kay dans la famille. La fête bati son plein. Seul Flocon avait décidé de son propre chef de rester à l’extérieur. Pendant que les enfants ouvraient leur cadeaux, Kay sorti pour aller voir son sauveur.
« Je ne peux pas rompre un Pacte. Sinon, cela signifierai que toi et moi nous mourrions. » souffla Flocon, pensant que Kay allait demander de le délivrer.
« Tu es le petit elfe que j’ai sauvé dans les catacombles de l’église de l’eau ? » reprit Kay.
Flocon semblait rougir, à sa manière. Cela ressemblait à une marmitte qui bouillait dans le feu de cheminé, tandis qu’il se cachait le visage dans les mains. Kay alla le rejoindre et le prendre dans ses bras.
« Je me souviens de ta voix et de ton visage. Tu étais plus fragile à l’époque. Je suis ravi de voir que tu ai reprit du poils de la bête. Merci de m’avoir sauvé la vie. »
« Je…Je te le devais bien…Kay… Si tu n’avais pas été là…Je serait encore au mains de ses croyants fous et excentrique. » répondit Flocon en prenant la main de son maître. « Mais…Je voulais absolument te voir. Continuer le voyage avec toi. Tu as été l’une des rares personnes à m’avoir regarder comme n’importe qui d’autre. Non pas comme une créature, mais comme un être à part entière. Désolé, d’avoir forcer la main de ton petit frère pour réaliser notre pacte. »
« Ne t’en fait pas. » souffla Kay en lui caressant les cheveux. « Maintenant tu fais parti de la famille. De ma Famille. Quand nous aurons reprit des forces, nous repartierons sur les routes. »
Flocons accepta et fêta son premier Noël avec son maître.
Une fois l’histoire terminée, Brian sauta des bras de sa tante. Son père venait d’arriver et a première vue, Kévin avait décidé de continuer à faire la tête. Du moins, c’est se que le petit garçon pouvait penser. Parce qu’une fois arrivée dans l’entrée. Il vit son grand-frère assis contre le bord du mur, dessinant dans son cahier Kay et Clint, ainsi que Flocon. Kévin rougit en voyant son petit frère regarder les dessins et se mit à répondre :
« Non, je n’ai pas écouter l’hsitoire !! Je ne sais pas se qui s’est passé !!! Lalalalaa ! »
Brian sourit et attrapa la main de son grand-frère. Peut être qu’un jour, lui aussi aura besoin d’un plus petit que lui pour l’aider.
FIN.